Mauvaise réponse !

C'est une révolte : l’idée est de libérer le langage, libérer l’art et la poésie en libérant la conscience. Le surréalisme est un mouvement artistique qui touche plusieurs domaines : la peinture, la littérature, le cinéma, les arts plastiques...

Mauvaise réponse !

Les figures de la poésie surréaliste sont : Louis Aragon, André Breton, Guillaume Apollinaire ou encore Paul Éluard. 

Mauvaise réponse !

Les poètes s’inspirent des travaux de la psychanalyse. Ils ont une fascination pour les thématiques liées aux rêves et à l'inconscient, les clés de nos pensées profondes.

Bonne réponse !

Le surréalisme est un mouvement du XX^e siècle. Il se définit par une libération du contrôle de la raison (rêves, inconscient…). A la suite de Rimbaud, Apollinaire essaie de décrire cette réalité invisible et utilise le terme pour la première fois, en mars 1917, dans une lettre à Paul Dermée.

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André Breton écrit d'ailleurs que le surréalisme est un « automatisme psychique pur, par lequel on se propose d'exprimer, soit verbalement, soit par écrit, soit de toute autre manière le fonctionnement réel de la pensée ».

Mauvaise réponse !

Il faut voir le surréalisme comme des expériences. Les poètes s’amusent à faire des petits jeux pour sonder leur inconscient.

Mauvaise réponse !

Dans l'écriture automatique, il s’agit d’écrire le plus vite possible, sans réfléchir à ce que l’on est en train de faire. Ça nécessite de lâcher prise, d’être dans un état presque second. Certains poètes peuvent même choisir d'écrire sous hypnose.

Mauvaise réponse !

Un poème en vers libres, est un poème qui ne suit pas de règles d'écriture spécifiques, autrement dit : sans rimes, et hétérométrique, les vers ne sont pas réguliers.

Mauvaise réponse !

Les figures de styles donnent du relief à l'écriture. Dans Je t'aime, Paul Elaurd utilise l'anaphore (répétition d’un même mot ou de la même expression au début de chaque phrase ou paragraphe) et l'antithèse (rapprocher deux termes opposés pour créer du contraste).

Mauvaise réponse !

Apollinaire forge le mot-valise « calligramme » en contractant les termes « calligraphie » (art de former des caractères élégants et ornés) et « idéogramme » (signe représentant un mot ou une idée). Il crée ainsi une forme originale, à mi-chemin entre le dessin et le poème, proche du hiéroglyphe.