Mauvaise réponse !

Dans une monarchie absolue, le monarque gouverne seul. Il détient tous les pouvoirs mais reste cependant soumis à des lois qui lui imposent de respecter les libertés de ses sujets. Ce n’est donc pas du despotisme.

Mauvaise réponse !

Dans une monarchie parlementaire, le pouvoir du monarque est exécutif tandis que le pouvoir législatif revient au Parlement. En Angleterre, par exemple, le Parlement est bicaméral (deux chambres) : la Chambre des Lords et celle des Communes.

Mauvaise réponse !

Couronné en 1661, Charles II gouverne en monarque absolu, faisant arrêter ses opposants sans jugement. L’Habeas Corpus, qui introduit l’obligation de présenter un détenu à un juge, est alors voté par le Parlement. C’est le premier texte qui ose s’attaquer à l’arbitraire royal.

Mauvaise réponse !

L’ambition d’équilibre des pouvoirs est amorcée par l’adoption de la Magna Carta en 1215, mais voit réellement le jour grâce au vote de l’Habeas Corpus en 1679, qui énonce une liberté fondamentale devenue universelle .

Bonne réponse !

Bien que difficilement imaginable de nos jours, le roi pouvait faire arrêter qui il voulait sans avoir à avancer de preuves, avec une simple « lettre de cachet ». Avec l’Habeas Corpus, en l’absence de charges valables, le juge doit libérer l’accusé.

Mauvaise réponse !

Cette « révolution sans effusion de sang » (1688-1689) eut pour conséquence de renverser le roi catholique Jacques II d'Angleterre, qui était devenu impopulaire en raison de sa religion et de ses abus de pouvoir. La révolution réaffirme le rôle du Parlement face à la Couronne.

Mauvaise réponse !

Ce texte est élaboré par le Parlement après la révolution de 1688. Il rappelle les libertés et les droits fondamentaux des personnes et la supériorité de la loi sur le roi. C’est l'un des textes les plus importants de l'histoire constitutionnelle anglaise.