Mauvaise réponse !

On est en pleine révolution industrielle et médicale. A ce titre, la raison et la rationalité priment.

Mauvaise réponse !

A cette époque, le mouvement du réalisme cherche à imiter le monde, à le reproduire de la façon la plus fidèle possible dans les romans ou les nouvelles. On s’intéresse aux classes populaires dans un monde post-Révolution française.

Mauvaise réponse !

Ces deux mouvement s'opposent : les poètes symbolistes souhaitent montrer que le monde est plus complexe qu'il ne parait. Pour eux, l'approche réaliste, matérialiste et rationnelle du monde ne suffit pas à le comprendre pleinement. 

Mauvaise réponse !

Les poètes symbolistes attachent une réelle importance à la grande musicalité, des jeux sur les figures de sonorités et le rythme des strophes.

Mauvaise réponse !

Le poète doit faire de véritables efforts. La langue poétique pourrait permettre d'accéder à ce monde supérieur, mais non sans peine : il doit douter et s'interroger pour trouver les mots dans l'incertitude qui l'entoure.

Mauvaise réponse !

Les thématiques du rêve, de la rêverie, ou encore de l’ésotérisme sont très présentes dans le mouvement symboliste.

Mauvaise réponse !

Les poètes Verlaine, Mallarmé ou encore Rimbaud, considèrent que le monde tel qu’on le connaît demande à être déchiffré. Selon eux, il existe deux mondes : le monde sensible, auquel tout le monde a accès et le monde supérieur, accessible aux poètes, par leur art.

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L'expression « poète maudit », née du roman éponyme de Paul Verlaine, désigne un poète très talentueux qui est en décalage avec son époque, comme Baudelaire. Il est provocateur et mène souvent une vie de débauche (alcool, drogues…). Généralement, le poète maudit meurt avant d’avoir connu le succès.

Mauvaise réponse !

Selon Rimbaud, les poètes symbolistes sont des « voyants » capables de voir ce qui est invisible aux yeux des autres. Par leur art, les symbolistes ont accès à des symboles, ce sont eux qui font les intermédiaires entre les deux mondes.