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La censure sous Napoléon 1er
Laissez-vous guider - Sur les pas de NapoléonInquiet et méfiant après avoir échappé à un attentat, Napoléon Bonaparte veut surveiller tout le monde pour garder son trône. Indics, infiltrés, écoutes… Il met en place un véritable arsenal de contrôle de la population.
Une police secrète sous Napoléon
Avec l’aide de son ministre de la police, Joseph Fouché, Napoléon crée une police secrète. Elle infiltre les milieux les plus riches, les opéras, les salons littéraires, les cercles de jeux, etc. Elle assiste aussi aux exécutions capitales pour écouter ce qu’il se dit dans la foule.
La censure de la presse
Dès son arrivée au pouvoir, Napoléon Bonaparte muselle la presse. Il supprime par décret 60 des 73 journaux présents à Paris. Puis, dans chaque journal autorisé, il place un censeur qui lit tous les articles. Le comble, c’est que le journal doit payer ce censeur.
Fouché et Vidocq contre les « mauvais sujets » et le crime organisé
Napoléon, via son ministre Joseph Fouché, fait aussi ficher les citoyens, parfois pour d’obscurs motifs, comme celui de « mauvais sujets ». Ce terme désigne toutes personnes critiquant l’empereur. Enfin, pour lutter contre le crime organisé, on créé une brigade chargée de pénétrer ce milieu particulier. Elle est dirigée par un sulfureux personnage, Eugène-François Vidocq.
Découvre le dossier spécial consacré à Napoléon Ier (1769-1821).
Réalisateur : Nicolas Ferraro
Producteur : Morgane Production
Année de copyright : 2021
Année de production : 2021
Publié le 26/04/21
Modifié le 03/04/24
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