Oh zut ! La vidéo a pris une pause et revient prochainement. Tu peux lire le descriptif ou explorer d'autres contenus sur Lumni !Oh zut ! La vidéo a pris une pause et revient prochainement. Tu peux lire le descriptif ou explorer d'autres contenus sur Lumni !

Regarde cette vidéo et gagne facilement jusqu'à 15 Lumniz en te connectant !

Il n’y a pas de Lumniz à gagner car tu as déjà vu ce contenu. Ne t’inquiète pas, il y a plein d’autres vidéos, jeux, quiz ou articles intéressants à explorer et toujours plus de Lumniz à remporter.

->   En savoir plus
IndisponibleArts, musique et culture03:50Publié le 30/01/2019

Les débuts de l'enregistrement

Les folles inventions musicales avec PV NOVA

Comment faisait-on pour enregistrer quand le micro n’avait pas encore été inventé ? Réponse dans cette vidéo dans laquelle le youtubeur PV Nova retrace l'histoire de l'enregistrement dans la musique.

Le phonautographe : un enregistrement, mais pas d’écoute

En 1857, Edouard Scott de Martinville, un inventeur français, dépose un brevet pour le premier dispositif permettant l’enregistrement du son : le phonautographe. Le principe : on chante dans le cornet et la machine inscrit sur une feuille de papier la représentation graphique du son qui est produit. Problème : le phonautographe enregistre le son, mais il ne sait pas le reproduire.

Phonographe, gramophone : le début de l’enregistrement en studio

20 ans plus tard, le célèbre Thomas Edison, un des inventeurs du cinéma, crée le phonographe. Même système, mais ce coup-ci l’appareil permet d’écouter le résultat. 10 ans plus tard, Émile Berliner met au point le gramophone. Il permet d’enregistrer un son sur un disque. C’est le début des enregistrements en studio.

Les contraintes du gramophone

Mais cette invention pose plusieurs contraintes. D’abord, le son reproduit est très affaibli. Donc, pour que le résultat soit audible, il fallait chanter très fort. Deuxième souci : le cornet ne capte pas toutes les fréquences comme les sons trop aigus et trop graves. C’est pour cette raison qu’on a beaucoup enregistré les ténors, car leurs voix étaient plus audibles dans le cornet.

La révolution du microphone

En 1925, on passe à l’enregistrement électrique, avec enfin le microphone. C’est une révolution. Tout le monde se met au micro. Cet engin permet de convertir le signal sonore en signal électrique, et donc de l’amplifier. De plus, le micro capte une gamme de fréquences beaucoup plus large et permet d’enregistrer correctement tous les types de voix.

Réalisateur : Nicolas Beguet

Auteur : Benjamin Valière; PV NOVA

Producteur : France Télévisions; Goldenia studios

Année de copyright : 2018

Année de production : 2018

Publié le 30/01/19

Modifié le 09/09/24

Ce contenu est proposé par