Tout en réaffirmant les liens solides unissant l'Etat d'Israël aux USA, il exprime publiquement son soutien au peuple palestinien. Il souhaite œuvrer pour la paix et encourager la création de deux pays pour deux peuples.
Barack Obama considère les implantations comme un obstacle à la paix. Dans le rapport établi par George Mitchell il était donc demandé, entre autres, le gel des colonies de peuplement dans les territoires de Cisjordanie et de Jérusalem-Est.
Le premier ministre israélien revendique même la construction de nouvelles habitations dans les colonies existantes. Il s'agit pour lui de répondre à une croissance démographique naturelle. Barack Obama a dû assouplir sa position.
Il assure cette fonction jusqu'en 2011. Connu pour son succès lors de la résolution du conflit en Irlande du Nord, il est sénateur du Maine et chef de la majorité démocrate au Sénat américain.
Cette résolution est destinée à empêcher le colonel Kadhafi de bombarder les zones tenues par les insurgés. Elle n'interdit pas l'acheminement aérien d'aide humanitaire, ni d'autres types de vols effectués dans l'intérêt de la population civile libyenne.
Ce paragraphe autorise et légitime un recours à la force, dans la mesure où il est destiné à protéger des civils. Ainsi la France a pu frapper directement les forces du colonel Kadhafi avant qu'elles ne bombardent la population de Benghazi.
D'une certaine façon il semble encore favorable à la création d'un Etat palestinien. Il y met une nouvelle condition : les Palestiniens et les Israéliens doivent seuls et préalablement parvenir à un accord de paix.
Cette admission est votée à une confortable majorité en 2011. Cette étape historique est considérée comme un premier pas vers l'admission de la Palestine à l'ONU, ainsi que sa reconnaissance en tant qu'Etat souverain.
Lourdement engagé en Irak et en Afghanistan, le Pentagone est hostile à toute intervention militaire en Libye. Souhaitant cependant être présent dans la résolution de ce conflit, Barack Obama a dirigé « depuis l'arrière », selon l'expression employée par certains observateurs.
C'est en 2012 que l'Assemblée générale des Nations unies accorde à la Palestine le statut d'Etat non membre observateur auprès de l'ONU. Elle adopte également une résolution considérant l'urgence de négociations dans le cadre du processus de paix.
Son discours vise à mobiliser la communauté internationale autour d'une résolution du conflit entre Israéliens et Palestiniens. Il évoque une autre perspective : celle de la création d'un Etat palestinien indépendant.
Ce vote a lieu en octobre 2011. Il marque une étape historique dans la reconnaissance internationale de la Palestine. Les Etats-Unis votent contre cette admission, tandis que la France y est favorable.
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