Mauvaise réponse !

Dans le langage familier, le mot « poilu » désignait quelqu’un de courageux. On dit aussi que ce surnom est dû au fait que les soldats ne pouvaient pas se raser et paraissaient tous « poilus ».

Bonne réponse !

Les tranchées étaient creusées en zigzag pour éviter les tirs en enfilade et limiter les effets de la chute d'un obus. Hauts de trois mètres, les murs de la tranchée étaient renforcés par des sacs de sable et des planches de bois.

Mauvaise réponse !

Pendant la Première Guerre mondiale, le no man's land désignait la zone située après les barbelés entre les deux tranchées opposées. Par extension, cette expression désigne toute zone de conflit armé ou les combattants occupent des positions opposées et figées.

Mauvaise réponse !

La guerre de position se caractérise par des positions fixes, dans des tranchées. Elle s'oppose à la guerre de mouvement, où les soldats sont en mouvement constants sur le champ de bataille.

Bonne réponse !

Les conditions de survie dans les tranchées des deux camps sont épouvantables. Les parasites véhiculent maladies et infections, la dysenterie, le typhus ou le choléra font des ravages, la proximité de cadavres en décomposition entraîne l'infection de la moindre plaie.

Mauvaise réponse !

La France fait appel à 600 000 soldats. Ces hommes étaient originaires d'Afrique, de Madagascar, de l’Indochine, de la côte des Somalis, des « vieilles colonies » (Antilles, La Réunion), de l’Océanie et du Pacifique.

Mauvaise réponse !

En décembre 1916, alors que le front de la Somme mobilise les soldats dans une autre bataille, les combats s’arrêtent enfin à Verdun après 10 mois de combats. Les poilus ont résisté, c'est un échec pour l'Allemagne. Dans les deux camps, le bilan des victimes est terrible. Verdun devient alors le symbole de l’horreur de la Grande Guerre.

Mauvaise réponse !

Leurs blessures nécessitaient une chirurgie, mais aussi une longue thérapie, car ces anciens combattants étaient rejetés par la société.

Mauvaise réponse !

Le système de permissions fonctionnait très mal. Elles n'étaient pas souvent accordées et le temps de trajet pour retourner vers les familles était compris dans le temps de permission.

Bonne réponse !

Au matin du 11 novembre, l'armistice va être signé. Dans la crainte que les Allemands ne signent pas, une ultime offensive française est commandée sur la Meuse. Il y aura environ 100 morts pour la France.

Bonne réponse !

La Première Guerre mondiale fut particulièrement meurtrière avec près de 10 millions de morts et de disparus. S'ajoute à cela un nombre immense de blessés et de mutilés : plus de 21 millions.